C’est peut-être mes yeux qui changent, mais cette année, il me semble qu’il y a encore plus de monde dans cette ville Balneario Camboriu. Il est vrai qu’avec la fabrication de 5000 appartements par an, quelque part, il doit y avoir 15 000 personnes de plus tous les ans, en période estivale. C’est mécanique.
Cela dit, je pense qu’il y a de plus en plus de touristes qui viennent également, ce qui amplifie le phénomène.
Ce qui est également surprenant, c’est cette passion des brésiliens pour cette ville. Mes yeux d’Européen ne voient vraiment pas grand chose d’attirant.
- La plage est polluée,
- en plus il y a cette algue que les employés de la mairie ramassent tous les jours qui n’a rien de très agréable, à l’oeil, à l’odeur et au touché, surtout quand on se baigne. Heureusement il n’y a que quelques poches qui sont atteintes par cette algue…
- L’eau de pluie s’écoule directement dans la mer, enfin l’eau de pluie drainée par les égouts, et cela ne semble choquer personne, pourtant la couleur et l’odeur ne sont pas des plus agréables
- Les immeubles de plus en plus grands, empêchent le soleil sur la plage à partir de 4 heures de l’après midi
- Impossible de circuler correctement dans la ville, trop de voiture et pas assez de nouvelles rues malgré les efforts de la maire.
- Pour ceux qui habitent devant la mer ou même dans l’avenue Brasil, je pense qu’il leur est difficile de fermer l’oeil avec le bruit des voitures et surtout de la musique à plein volume. Sachant que le double vitrage ici, connaît presque pas.
Heureusement qu’il y a les plages environnantes pour améliorer un peu le cadre, à moins que ce soit moi qui ne perçoit pas la quintessence du lieu. Ce doit être ça! En tout cas pour ceux qui aiment la foule et surtout la nuit, c’est sûrement l’endroit idéal. Et les commerces en profitent bien, tout a augmenté!
Vous allez dire pourquoi j’y vis? Déjà hors de la période estivale, tout ce calme c’est juste pendant la période décembre février, qu’il faut aller ailleurs à mon goût, dans les plages environnantes, c’est d’ailleurs ce qu’on va faire d’ici peu.